Hello everybody…
Nom : Husserl
Prénom : Maximilien
Age: Quelques siècles déjà... Oh je ne sais plus trop combien.
Race : Vampire/Vieux démon sorti du placard
Me… And just Me…
Description Physique : Ce que vous voyez en premier chez Maximilien Husserl, c'est sa cape noire, qui claque dans le vent. Ensuite des bottes de cuir brillantes, un pantalon de costume parfaitement taillé, une chemise étrangement blanche, une cravate et un haut-de-forme. Parfois, il chausse des lunettes ou un monocle, tout dépend de l'humeur. Même s'il a un beau port, on ressent sur les épaules de Maximilien le poids d'une existence qu'il subit plus qu'il ne mène. Sa longue silhouette, son regard vairon et ses cheveux mi-longs noirs trahissent en rien la force ancestrale qui coule dans les veines de ce vampire. C'est un homme discret, silencieux. Son visage a quelque chose de menaçant, peut-être dans le regard ou dans sa façon de sourire.
Description Morale : C'est un homme de bon goût, nous verrons plus tard pourquoi. Il aime la culture, la littérature de tous les mondes. Il est très réservé, souvent soucieux, comme plongé dans une intense réflexion. On sent une certaine lassitude dans ses expressions, comme s'il avait tout vécu. C'est quelqu'un de fidèle à ses idéaux, un peu sauvage, toujours passionné, capable d'écouter avec attention les gens, qui se confient bizzarement plus facilement à lui qu'à quelqu'un d'autre, probablement en raison de sa discrètion.
Passions, Hobbies : Grand maître de l'équitation, il a traversé les mondes, s'est instruit de bien des choses, sans n'avoir qu'effleuré la vérité universelle. Il aime la connaissance et n'a de cesse de s'étonner avec plaisir de tout, boire les paroles de quiconque peut l'instruire. Il lit énormément, participe à des débats, écrit également. Il maîtrise des formes de combat raffinées, des langages oubliés. Mais bien sûr, il sait pertinemment qu'il n'est finalement pas plus instruit qu'un autre. L'enseignement est pour lui un plaisir indicible.
Histoire : Je m'appelle Maximilien Husserl. Je suis né dans un autre monde, une autre Terre, un univers parallèle où la guerre entre les lycans et les vampires fait rage. Unique descendant mâle d'une longue lignée d'aristocrate d'un continent qui rappelerait l'Europe occidentale, l'Angleterre, plus précisèment, j'ai fait mes classes dans des écoles privées hautement côtées. J'étais déjà seule, ne vivant que la nuit, me repaissant du sang des êtres vivants que je trouvais. Animaux, humains... Mes activités favorites? Oh, j'étais jeune, vous me pardonnerez d'avoir chassé des lycans pendant toutes mes années de formation, jusqu'à l'université. Je savais, bien sûr, que j'aurais le... le "don" d'une vie éternelle, sauf si j'étais assez bête pour m'exposer à la lumière du jour. Si vous tenez à tout savoir, j'ai suivi une formation des sciences du vivant.
Eternellement jeune... Un cadeau que bien des gens m'envient, quand ils savent ce que je suis. Mais finalement, à quoi dépenser mon temps? Je n'allais pas faire la guerre toute... toute l'éternité. Bientôt, j'appris l'inutilité de ces conflits. Je n'avais pas besoin de manger, je n'avais pas de descendance (à quoi bon infliger ma malédiction à des êtres qui n'ont rien demandé?). Je ne voulais pas devenir comme tous ces vieux seigneurs sanguinaires, des vieux rebutés de la vie, grinçant, adeptes des salons où la haute bourgeoisie se réunissait. Non, tout ça, c'était pas pour moi, j'étais trop solitaire pour ça.
A la bibliothèque, je tombai sur un livre très poussièreux. J'avais déjà 50 années terrestres au compteur, l'ennui se faisait sentir. Ce livre, ce grimoire, que je trouvais, il faut l'avouer, dans une section interdite au public, datait de temps immémoriaux. Il était inachevé. Seules quelques pages étaient remplies, d'une écriture fine et penchée, appliquée, comme celle que nous trouvions 500 ans auparavant. Il traitait de mondes parallèles, inexplorés par les notres, et des "anomalies" qui avaient fait irruption chez nous. C'est-à-dire, des humains, des elfes, des notions que je ne connaissais ni d'Eve ni d'Adam, qui se seraient infilitrés à une certaine période et auraient semé le trouble dans les troupes des deux côtés. L'auteur du livre, à la dernière page, confiait son envie de partir lui aussi. Mais ceux qui partaient ne revenaient jamais...
A vrai dire, je ne redoutais pas une désintégration moléculaire (oui, je me suis aussi interessé à l'astrophysique et aux mathématiques fondamentales... Comme quoi j'avais vraiment du temps à perdre). Je pensais plutôt à des mondes bien plus préférables au nôtre, qui n'étaient pas déchirés par des guerrers, par des périodes de jour ou de nuit... L'homme, qui était un vampire, bien sûr, se nommait Lestat. Il semblait que seulement quelques élus pouvaient partir, mais je soupçonnais l'université de justement dissimuler l'ouvrage afin d'empêcher une fuite massive de vampires vers d'autres cieux, comme les allemands de l'Est, il y a quelques décennies, sur Terre.
Et pourquoi pas? J'avais... L'éternité devant moi, j'étais la personnification du cosmos... Et j'avais soif. Non pas de sang, mais de connaissance. J'ai vécu dans des mondes hétéroclites, parfois longtemps, parfois le temps d'un battement de coeur d'un éternel (la légende dit sept jours terrestres). C'était souvent amusant. Un jour, j'ai débarqué dans un monde peuplé de créatures à consistance de chamallows, qui vivaient dans des demeures championnesques, et quand il pleuvait, il tombait du chocolat fondu. Mais il était très difficile pour moi de me nourrir dans un tel environnement. Dommage. Juste le temps de prendre quelques notes sur la civilisation en question, puis je tombais sur une planète interessante. Une planète où l'immortalité est un fantasme, où pour la gagner, on s'abreuvait d'actes soi-disant héroïques, c'est-à-dire on annihilait nos semblables dans des guerres ridicules, pour qu'on parle de nous dans des livres d'histoire. Une planète bleue, un cadeau des Dieux, une perfection en elle-même de par l'équilibre de la nature qui y régnait... Et ses habitants, par des systèmes et des concepts totalement obsolètes, menaient cette planète à sa perte...
Autrement dit, ce fut pour moi une formation tout à fait fascinante et j'y restais très longtemps. 1500 ans. Pourtant, malgré tous mes a-priori, mes préjugés et mon recul, je me pris d'affection pour ces êtres. Pourquoi? Pour l'instant, j'étais en quête de réponse. J'eus pour la première fois des amours avec des humaines (et des humains muhahaha). Je vécus de grands moments historiques, des guerres, mais aussi des évènements culturels de premier ordre, la pénicilline, la bombe atomique, le SIDA... Dans les années 40, je rencontrais une femme tout à fait remarquable, une certaine Simone De Beauvoir. L'histoire de Tous les Hommes sont mortels... Est la mienne. [Je vous conseille ce bouquin d'ailleurs =P].
Après avoir entassé un coffre entier de diplômes d'universités dans les mondes entiers, j'entendis parler d'un monde unique. Qui serait au courant de ces différents mondes et ces connexions diverses. J'en avais marre, de courir après la connaissance, de courir après les gens. Mon expérience humaine m'avait vidé de toutes énergies... Me poser me ferait le plus grand bien. Et enseigner, transmettre toutes ces connaissances existentielles, était pour moi un objectif de premier ordre. Me voici donc téléporté depuis quelques mois à Yggdrasil. En qualité d'enseignant de civilisations du monde.
Just a Little Bit of Magic …
Pouvoirs particuliers : Un vampire, qui ne sort que la nuit...
Signes particuliers : Un regard vairon et des tatouages partout.
Yggdrasil … Here I m
Confrèrie ou poste de l’enseignant demandé : Professeur d'étude des mondes.
Motivations pour rejoinder la confrèrie / Pour obtenir ce poste : I travelled the world and the seven seas... What else?
And…so ?
Comment avez vous connu le Forum : Une certaine Heidegger m'a sussuré des choses à l'oreille.
Age Reel: ...
Des remarques à faire ? : None.
Accueil 
Dernières images 
Sujet: Maximilien Husserl -valide- 
Dim 8 Fév - 20:10
